GLiv, visionneur d'images ultra rapide en OpenGL1 min read

GLiv, bien que moins convivial que la majorité des visionneurs, me permet de feuilleter mes images à une vitesse phénoménale, puisqu’il passe par l’OpenGL, et donc, que c’est la carte graphique qui se charge de l’affichage des images (et non le processeur). Enfin bref, je fais juste mentionner comment je l’ai configuré pour mon ordinateur portatif dans une optique de performance maximale.

Association aux types de fichiers JPG

GLiv ne crée pas (pour le moment) d’associations aux types de fichiers. L’interface de GLiv étant horrible à utiliser, associer les images JPG à GLiv serait la moindre des choses pour le rendre utilisable. Cependant, exécuter «gliv votreimage.jpg» n’afficherait que cette image, ne vous permettant pas de vous déplacer dans le dossier.
Pour ajouter une image et permettre le visionnement des images adjacentes, il faut utiliser l’option -a. De plus, GLiv ne se souvient pas de la taille de la fenêtre automatiquement.
Alors, pour associer les images JPG, j’ai fait un clic droit sur une de ces images, «propriétés, ouvrir avec, ajouter, utiliser une commande personnalisée», et j’ai mis:
gliv -a -G 1280x800

Optimiser la performance

Dans la fenêtre d’options de GLiv, j’ai changé les choses suivantes:

  • Images: cocher «Réduire les grandes images»
  • Images: cocher «Ne garder qu’une seule image en mémoire»
  • Menus d’images: décocher «Ajouter des raccourcis aux menus d’images»
  • Menus d’images: décocher «Afficher des vignettes dans les menus d’images»
  • Diaporama: décocher «Activer les transitions entre les images» (ceci n’affecte pas seulement les diaporamas)

Et j’utilise les touches PgUp/PgDown pour passer d’une image à l’autre. Ce n’est pas intuitif et je ne recommanderais décidément pas GLiv pour les grand-mères, mais pour les maniaques de performance ça fait le travail.