Tenkū no Esukafurōne


Voici ma description d’Escaflowne en images. Bon, d’accord, une légende pour expliquer les liens tordus que je fais avec cet anime de 1996:

  • les mechs à la Evangelion (et évidemment, Escaflowne a des effets directs sur la santé du pilote, etc.)
  • les conflits permanents de Record of Lodoss War et Legend of Crystania, les combats d’épée (à la différence qu’ici, ils sont bien animés), les pouvoirs mystiques/magiques inexpliqués de divers trucs, les hommes-bêtes de Crystania
  • le nez de Cyrano de Bergerac
  • stealth camouflage? SNAKE! BEHIND YOU C’EST AFFREUX!
  • catgirls.
  • le monde des trucs volants/flottants et des planètes interreliées à la Last Exile
  • l’Empire visant la domination planétaire à l’aide de la haute technologie (franchement, là ils ont vraiment fait exprès de copier 1:1 l’Empire de FF6, comme le montre le screenshot suivant)

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Loveless

S3phy avait entièrement raison lorsqu’il m’affirmait que Loveless, c’est génial, et que fallait que j’écoute ça. Non seulement c’est des catboys gais, mais en plus ils sont pédophiles, fétichistes et masochistes; ajoutez à ça des étudiantes de sixième année de primaire qui font 16 ans et des professeurs qui en font 17, des méchants adorables, aucune explication de what the fuck has been going on même rendu à l’épisode final. On termine la série et on est pas plus avancé dans le scénario. Woaw.
Sérieusement, c’est tellement du yaoi arlequin exagéré que j’en rigole dans mes trajets d’autobus. Mais au moins les auteurs du truc en sont conscients et ça se voit avec l’humour tordu entre les lignes.

Lemonrip, Legend of Crystania

Mieux que Thoggen dans certains cas, je vous recommande Lemonrip. Il m’a permis de convertir mes trois épisodes de Legend of Crystania, the Chaos Ring en sept heures sans planter ni rien, et, contrairement à Thoggen, d’inclure les sous-titres (c’est bien le japonais, mais il faut quand même quelques repères pour le scénario).
Les Xvid+MP3 résultants ont une qualité hallucinante (bon d’accord quand même, c’est du 2 passes avec une taille de fichier que j’ai laissé grimper à 560+ Mio par épisode de 30-45 minutes…)

Parlant de Crystania…


Pour ceux qui ont aimé Record of Lodoss War (ça me tue quand même ce titre en engrish), du moins la première série de 13 épisodes parce que la deuxième on s’en fout, c’est Spark et c’est franchement la même histoire qui se répète, voyez Legend of Crystania et Legend of Crystania: the Chaos Ring (en trois parties). En gros:

  • grandiose
  • profond
  • personnages charismatiques
  • pas de longueurs (comparé aux séries; bah oui, c’est des films, c’est pas fait pour étirer la sauce sur 26 épisodes)
  • entièrement nouveau (bah oui, on se situe sur un autre continent, avec les descendants du peuple de Marmo)
  • innovateur (franchement, je m’attendais pas à une version donjons & dragons de Transformers 🙂
  • animé sans failles. Non, sérieusement, c’est fluide, c’est classe, et on se trouve à arrêter sur image juste pour admirer les décors ou les personnages.

C’est dingue à dire, mais j’apprécie maintenant plus Pirotesse et Ashram que Deedlit et Parn. Allez savoir pourquoi Pirotesse avait un bronzage plus prononcé dans Record of Lodoss War.
Je vous laisse sur quelques images (ah ça fait du bien, je voulais blogger tout ça depuis l’été dernier).
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Mon premier anime

Il y a quelques mois, je me suis mis à murmurer une mélodie dont je ne connaissais pas le nom, mais qui m’a alors fait ressurgir les souvenirs du tout premier anime que j’ai écouté dans mon enfance, celui qui a donc probablement influencé inconsciemment tout ce que j’ai regardé par la suite.
Cette chanson, c’était Voices. Elle venait de Macross Plus.

Qu’est-ce que Macross Plus avait de si spécial pour me laisser une impression forte et indélébile même après plus de 6 ans? (En fait, cet OAV a maintenant… merde, 12 ans! Il date de 1994 selon IMDB, je suis sur le cul là.)
Eh bien, voici:

  1. c’était le premier anime japonais que j’aie écouté de ma vie. Bien avant Card Captor Sakura, Evangelion, et tout ce qui a suivi.
  2. Voices. Vraiment, cette chanson ne peut pas faire autrement que de laisser une marque psychologique quand on la combine aussi bien avec un dessin animé tragique.
  3. une animation parfaite, et vraiment, vraiment parfaite. Je suis très exigeant, et c’est la première fois que je revois cet anime depuis environ 6 ans. Je n’avais aucun souvenir que ce truc était AUSSI bien fait. Oubliez tout ce que GAINAX a fait. Vous ne verrez aucun “truc du personnage qui marche au loin”, aucune “foule totalement figée”. Et quand deux gars se tapent dessus, croyez-moi, ils se donnent plus qu’une seule baffe.
  4. une histoire simple, mais incroyablement forte et cohérente
  5. des personnages qui ont pas besoin de faire des discours sur la raison d’être de la vie humaine
  6. deux heures de pure beauté à s’arracher les yeux sur les détails sur la version DVD que j’ai

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